Surtout ne faites pas cela ! Votre condition après la mort serait bien plus douloureuse que celle à laquelle vous cherchez à échapper.

Quelles que soient les difficultés de notre vie, elles constituent des leçons que nous devons apprendre pour notre plus grand bien.

Au cours de notre évolution présente, nous sommes soumis à l’action de deux grandes lois : la loi de cause à effet et la loi de renaissance (réincarnation). Nos actions passées sont par conséquent à la base de notre destinée actuelle.

Avant la naissance, les grandes lignes de la destinée (le programme de notre vie) sont déterminées. Notez bien qu’il s’agit seulement des circonstances qui formeront le cadre de notre existence. Car, en face de ces circonstances, nous serons toujours libres d’agir à notre guise. Nous pourrons d’ailleurs par nos actions (bonnes de préférence) modifier une partie de notre destinée, car certaines causes produiront leurs effets dans cette vie même.

Une durée de vie à été infusée dans l’archétype de notre corps physique. Ceux qui se suicident détruisent le corps physique, mais l’archétype continue de vibrer jusqu’au moment normalement prévu pour la fin de la vie. Et en l’absence du corps physique, il en résulte de grandes souffrances.

Ajoutons que les leçons qui n’auront pas été apprises dans cette vie devront être apprises dans une vie suivante.

Si vous pouvez empêcher un ami désespéré de commettre ce « crime contre lui-même », vous lui rendrez le plus grand des services.

 Texte inspiré de l'Enseignement rosicrucien
légué à Max Heindel par les Frères Aînés de la Rose-Croix.